L’arme secrète pour moins dépenser… Sans se priver!

« Part of being successful is about asking questions and listening to the answers. »
(Traduction FR : Réussir, c’est, en autres, poser des questions et écouter les réponses.)

Anne Burrell

Wow!

J’ai récemment découvert un nouveau truc, une « arme secrète », qui m’aide énormément à améliorer la gestion de mes finances personnelles.

Je n’ai pu faire autrement que de vous en parler. Immédiatement.

Pourquoi? 2 raisons :

  1. Je ne pouvais pas garder cette astuce que pour moi. Tout le monde peut en bénéficier à un moment ou un autre de sa vie et ce, à petite ou grande échelle.
  2. Malgré la simplicité désarmante (See what I did there?) de ce petit truc, il est vraiment (mais vraiment) efficace.

Ce truc obtiendrait une note de A+ à l’examen des petits trucs utiles pour mieux gérer son argent.

Vous ai-je suffisamment vendu ma salade pour vous donner envie de lire attentivement ce qui suit? Excellent.

Nous pouvons procéder!

Petit rappel : Quel est le truc #1 en finances personnelles?

S’il y a bien un truc en commun dans tous les livres de finances personnelles, c’est l’insistance sur l’importance ultime de DÉPENSER MOINS QUE CE QUE L’ON GAGNE.

Spend less than you earn, comme disent les anglos!

C’est pourtant simple. Vous gagnez 50 000$ par année et vous avez un rythme de vie à 60 000$, ce n’est qu’une question de temps avant que vous soyez dans le trouble.

Pareillement pour un athlète professionnel qui gagne 1 000 000$ par année et qui en dépense 1 100 000$.

Ou encore, un gagnant de lotterie qui n’a pas de saines habitudes de finances personnelles et qui se met à dépenser en petit fou, au-dessus de ses moyens, de manière à ce que l’argent sorte plus vite qu’elle n’y entre (elle est entrée une fois, mais cesse d’entrer après le lot gagné!).

L’histoire est remplie d’exemples prouvant malheureusement le concept vécu à l’inverse : dépenser + que ce que l’on gagne.

Ce truc de dépenser moins que ce que l’on gagne était vrai lorsque j’ai commencé à améliorer mes finances personnelles en 2009.

Il est encore vrai maintenant.

Il sera encore vrai demain et dans 10 ans.

C’est pour ça que je l’aime tant! Un truc qui fonctionne réellement, qui est simple et qui est intemporel.

Dit autrement, ce conseil consiste à ce que votre argent sorte moins vite de vos comptes qu’elle n’y entre.

C’est de créer un cashflow positif avec son argent, permettant d’accumuler de l’argent tranquillement, mais sûrement.

Comme un seau d’eau qu’on tente de remplir, mais qui a un petit trou au fond. Tant que la grosseur du trou est plus petite que la grosseur du boyau qui le remplit, le seau pourra se remplir.

L’eau qui se remplit dans le seau sert bien évidemment d’analogie de votre richesse, de votre argent, qui s’accumule avec le temps.

C’est si facile de dépenser

De nos jours, dépenser, ça se fait virtuellement, sans même voir la couleur de l’argent.

On dépense avec nos cartes bancaires en 1 seconde. On peut même payer dans la plupart des endroits sans même avoir à entrer son NIP, on ne fait que toucher la carte de crédit sur le terminal et pouf, l’argent est parti.

Ça va même encore plus loin, de nos jours, on n’a même plus besoin de notre carte de crédit avec des systèmes comme Apple Pay ou Google Pay où l’on ne fait que balayer son téléphone sur le terminal pour payer.

Nous pouvons désormais payer sans même voir la couleur de l’argent ni ses cartes bancaires.

Dans cette génération qui valorise l’instantané plutôt que l’effort, cela devient important d’avoir des armes, des trucs, pour être mieux outiller et avoir une ligne de défense.

Comment appliquer ce conseil #1 de finances personnelles?

Sur papier, c’est bien beau ce conseil que notre argent doit sortir moins rapidement qu’elle n’y entre, mais dans le concret, on fait comment?

C’est à ce moment précis que mon « arme secrète » promise en début d’article vient à la rescousse.

La réponse un peu trop simpliste est que vous devez dépenser moins d’argent, mais ça, on l’avait déjà compris, non?

Ce qui est plus intéressant, c’est de se demander COMMENT on peut faire pour en dépenser moins et moins souvent.

La dépenser mieux.

Comme la vie a cette caractéristique bien utile d’être vraiment bien faite, il existe souvent des solutions élégantes à des problèmes complexes.

L’arme secrète est une question

Vous souvenez-vous de la citation de notre amie, en début d’article, qui soulignait l’importance de poser des questions et d’écouter les réponses si l’on veut connaître plus de succès?

C’est maintenant que j’y reviens et c’est tout aussi valide pour des questions posées à soi-même. À vous de vous!

Avant chaque dépense, demandez-vous la question suivante :

Que pourrais-je faire d’autre avec cet argent (que je m’apprête à dépenser)?

Ou, en bon français : « J’pourrais faire quoi d’autre avec cet argent-là? »

La clé de cette question réside dans le fait de
(1) prendre une petite pause pour
(2) considérer ses alternatives

De mettre les choses en contexte. D’aller chercher d’autres perspectives avant de dépenser sans penser.

(Note à moi-même : Dépenser sans penser. Ça sonne bien, ça! À retenir dans la catégorie « à ne pas faire ».)

Si vous n’arrivez pas à trouver une meilleure alternative, que ce soit par vous-même ou en demandant à quelqu’un, vous avez ma bénédiction pour effectuer cette dépense.

Le but n’est pas d’être parfait et de maximi-optimiser toutes vos dépenses. Simplement de développer l’habitude de penser aux alternatives possibles avant de dépenser.

À la longue, sur la durée d’une vie, c’est sûr que cela aura comme impact de vous conscientiser sur vos dépenses et, par la bande, de mieux dépenser, de dépenser moins.

You’re welcome.

Pourquoi cette arme secrète fonctionne tant?

En fait, c’est qu’elle permet d’éviter le piège suivant dans lequel il est fréquent de tomber :

Inconsciemment, lorsqu’on paie pour quelque chose, on le veut maintenant et on a tendance à se dire « soit j’achète cela, soit je ne l’achète pas et j’ai rien« .

ERREUR!

C’est FAUX!

Si vous n’achetez pas le truc, ou si vous avez un moyen de dépenser moins pour la même chose, vous avez (encore) cet argent (ou la différence) pour faire autre chose avec.

Je vois déjà en arriver quelques-uns sur leurs grand chevaux : Comment cela s’applique-t-il avec les cartes de crédit?

C’est simple, avec une carte de crédit, la règle d’or est que l’on n’achète pas quelque chose si on n’a pas déjà l’argent pour la repayer.

Votre solde dû va arriver d’ici quelques semaines et si vous ne le payez pas en totalité, votre cote de crédit en souffrira (et votre portefeuille avec les intérêts imputés).

Le concept qui se cache derrière cette question clé

En anglais, le concept qui se cache derrière cette question si puissante s’appelle : Opportunity Cost.

En français, cela pourrait se traduire techniquement en « le coût d’opportunité », mais j’ai la douce et sincère impression que ça ne veut rien dire.

Je lis cette traduction et mon cerveau s’éteint. Pas vous?

Traduisons plutôt le Opportunity Cost par le manque à gagner, le coût de renonciation, les occasions gaspillées ou les alternatives à considérer.

… Et ça s’applique drôlement bien aux finances personnelles.

En terme mathématiques, comme on est encore dans la définition de ce concept, ce serait :

Opportunity cost = What you are sacrificing / What you are gaining

Que gagnez-vous par rapport à ce que vous sacrifiez en faisant cette dépense?

Encore perdu(e)s? Pas de souci, les explications d’Uriel arrivent à votre rescousse!

Dépenser de l’argent aujourd’hui amène des bénéfices ou de la gratification instantannée.

En se demandant quelles sont les ALTERNATIVES à cette dépense, il est possible de voir quel est le OPPORTUNITY COST de cet achat.

Tiens, je pense avoir trouvé comment bien l’expliquer :

Si vous faites cette dépense, demandez-vous, quelles seront les choses sur lesquelles vous ne pourrez plus mettre (partiellement ou suffsiamment) d’argent?

« Donne-moi des exemples clairs, Uriel »

Entendu.

Exemple #1 – Les restaurants

Comme la plupart des êtres humains, j’aime bien aller au resto et me faire servir de la nourriture délicieuse sans avoir à lever le petit doigt.

Hors, qui dit resto dit dépense.

Qui dit dépense, dit utilisation de l’ARME SECRÈTE! La question à se poser!

Par exemple, je vais manger dans un restaurant un certain midi et la facture s’élève, après taxes et pourboire, à 20$.

Je me pose donc la question, quelles sont mes alternatives? Que pourrais-je faire d’autre avec ce 20$?

Une première réponse survient. Je pourrais me cuisiner un repas santé à la maison pour moins de 5$ et avoir 15$ de plus dans mes poches.

Avec ce 15$, je peux faire une surprise à un proche, le mettre dans mon compte épargne, ou encore l’envoyer dans mes comptes de retraite (RÉER, CELI).

Une autre réponse survient. Avec ce restaurant à 20$, je peux aller 10 fois au restaurant au Vietnam où je peux me nourir facilement à 2$ par repas.

Il devient alors BEAUCOUP PLUS FACILE de ne pas dépenser (ou de mieux dépenser) quand on a des alternatives tangibles et drôlement intéressantes à considérer.

Au lieu de se dire : si je ne vais pas au resto, je me prive et c’est la fin. Nada.

Attention! Certains diront, desfois, il est trop tard pour se poser la question.

Ce à quoi je réponds : c’est vrai! La perfection n’est pas à viser avec ce truc.

La fameuse question permettant de regarder ses alternatives peut être posée bien avant de faire la dépense (si on la voit venir).

Elle peut aussi être posée tout juste avant de faire ses choix (en regardant le menu du resto, par exemple).

Elle peut même être posée en rétrospective alors que l’on regarde les dépenses faites sur son relevé de carte de crédit.

Bref, vous connaissez la rhétorique : pas d’excuses! Just do it!

Exemple #2 – Acheter une voiture neuve

Lorsqu’on parle d’acheter une voiture neuve, on parle d’une belle grosse dépense. Dans tous les sens du termes.

Oui, il est agréable d’être le premier propriétaire d’une voiture, elle sent bonne, elle est neuve, elle n’a appartenu à personne d’autre, etc.

Mais au-delà de ces avantages de surface, y a-t-il une meilleure façon de dépenser cet argent? Quelles sont les alternatives?

Tout à fait. En fait, plus le prix de la voiture est élevée, plus presque toutes les dépenses relatives à cette voiture seront davantage élevées.

Tout d’abord, prenons l’exemple d’une voiture à 30 000$. Il y a de fortes chances que vous n’avez pas la somme totale avant de l’acheter, donc vous emprunterez et ferez des paiements.

Ce 30 000$ devient alors plus gros si l’on inclut l’intérêt payé et le poids mental supplémentaire que cette nouvelle dette ajoute.

Disons qu’elle vous coûte au total 35 000$, une fois remboursée au complet.

Quelles sont les alternatives? Une très bonne alternative est d’acheter une voiture qui est un petit peu usagée, donc moins chère.

Donc, déjà là, plus de chances d’être en mesure d’ammasser l’argent requis en amont et de ne pas avoir à emprunter pour se la procurer. De là émane autre bon conseil de finances personnelles.

Si vous n’avez pas l’argent, attendez de l’avoir. Vous ne mourrez pas.

Regardons les faits relatifs à cette dépense de voiture neuve.

Les voitures neuvent perdent leur valeur beaucoup plus rapidement qu’une voiture usagée.

Une voiture neuve perd en moyenne 10% de sa valeur au moment où vous quittez le concessionnaire.

En mettant les choses en contexte, vous ne voudriez jamais faire un investissement dans lequel vous perdez 10% de la valeur de l’investissement après quelques secondes de se l’être procuré.

Voici un beau petit graphique qui vous montre la vitesse à laquelle, en moyenne, une voiture neuve déprecie en valeur.

On y voit l’info suivante. Une voiture neuve perd :

  1. 9% de sa valeur après 1 minute d’avoir quitté le stationnement du concessionnaire
  2. 19% de sa valeur après 1 an
  3. 31% de sa valeur après 2 ans
  4. 42% de sa valeur après 3 ans
  5. 51% de sa valeur après 4 ans
  6. 60% de sa valeur après 5 ans

Une voiture usagée de 3 ans a donc perdu, en moyenne, 42% de sa valeur initiale. On s’entend qu’une voiture qui a 3 ans est encore en très bon état et peut vous durer encore plusieurs années.

Dans notre exemple d’une voiture neuve de 30 000$, nous nous retrouvons donc à refiler la facture de la dépréciation rapide à l’acheteur initial de la voiture neuve.

La voiture vaut donc environ 17 000$ à ce stade-ci. Il est réaliste d’accumuler cette somme en quelques années et la payer « cash ».

Que pourriez-vous faire avec le 13 000$ de différence, ou 18 000$ si on considère le vrai coût de la voiture neuve avec intérêts?

Quelques idées…

Enfin commencer à mettre de l’argent dans son RÉER.

Pourquoi pas mettre 10 000$ et avoir encore 8 000$ de lousse pour…

Contribuer au fond d’étude de ses enfants?

Se payer son ou ses voyages de rêve?

Construire (enfin) son fond d’urgence de quelques milliers de dollars pour arrêter de vivre de paye en paye, sachant qu’on a un coussin pour les imprévus. Pratique, entre autres, pour une voiture usagée.

Bref…

Une première piste de réponse est d’acheter une voiture moins chère.

Une deuxième piste de réponse est d’acheter une voiture usagée.

Une troisième piste de réponse est d’acheter une valeur qui conserve un peu mieux sa valeur sur le temps, afin d’être en mesure de la revendre pour une somme raisonnable lorsque vous voudrez la vendre.

Les voitures qui consomment plus d’essence ont tendance à déprécier plus rapidement, de part l’engoûement actuel très grand pour les voitures économiques.

Que la dépense soit petite, moyenne ou grande, qu’elle soit récurrente ou pas, le fait de s’arrêter un moment pour considérer les alternatives possibles avec ce même argent vous fera souvent mieux dépenser.

Ou du moins… Commencer à réaliser des choses importantes sur vos habitudes dépensières.

En résumé (too long, didn’t read…)

Pour toute dépense, il est possible de se demander avant, pendant ou après, est-ce que c’est la meilleure utilisation de mon argent? Pourrais-je la dépenser plus intelligement sur d’autre alternatives? Quelles sont ces alternatives?

En conclusion

Le concept de considérer le opportunity cost d’un achat / d’une dépense est si puissant qu’il va au-delà des finances personnelles.

J’irais jusqu’à dire que la plupart des choix que nous faisons dans la vie s’accompagne de ce concept.

Lorsqu’on choisit un boulot dans une grande compagnie, nous disons non à l’opportunité de travailler dans une plus petite boîte et d’avoir la possibilité d’avoir un plus grand impact sur les résultats de notre travail.

Lorsque nous travaillons à temps partiel, nous disons non à un meilleur salaire, mais cela permet de dire oui à plus de flexibilité et plus de temps. La ressource la plus précieuse au monde.

Cela dit, cela fait en sorte qu’il y ait plus de chances qu’il faille dire non aux voyages, par manque d’argent.

Dans toute décision, il existe un lot de conséquences qui sont importantes à considérer.

C’est ça le opportunity cost.

Ce concept, lorsque appliqué, permet de faire des meilleures décisions. Qui dit meilleures décisions, dit meilleure qualité de vie.

Que pensez-vous de ce concept?

Est-ce que vous l’appliquiez déjà sans vous en rendre compte?

Est-il nouveau pour vous?

Qu’est-ce qui vous a impacté le plus dans cet article?

Je veux savoir! Laissez un commentaire ci-dessous et parlons-en.

Affectueusement vôtre,

-Uriel

5 commentaires

  • Merci Uriel pour ce texte! Il tombe à point car, effectivement, c’est un défi pour moi de dépenser moins que ce que je gagne et ainsi éviter de piger dans mes épargnes pour payer mes factures…ce qui fait en sorte qu’il n’augmente jamais!

    • Allô Patrick!

      Merci d’avoir pris le temps de lire l’article et, surtout, de laisser un commentaire pour partager une tranche de vie! En effet, il est dangereux de commencer à piger dans ses épargnes pour payer ses comptes, sauf si on pige dans son fond d’urgence. C’est de l’épargne prévue à cet effet, encore faut-il que ce soit fait avec parcimonie et non sur une base régulière.

      J’espère que ce truc saura t’aider dès bientôt. Je l’ai encore utilisé aujourd’hui. Se poser cette question, c’est une nouvelle habitude à développer. Plus on le fait, comme toute habitude que l’on développe, plus cela devient naturel et facile!

      Laisse-moi savoir comment s’est passé ta première semaine en utilisant ce truc que tu auras 2 minutes. C’est intéressant aussi pour les autres lectrices & lecteurs!

      Lâche pas 🙂

      Uriel

  • Bonjour. Je viens de lire avec intérêt votre article et je trouve votre méthode très intéressante.
    Je suis passionné de la finance personnelle.

  • Bonjour Uriel,
    J’ai adoré ton présent article, car il valide ma philosophie de vie budgétaire.
    Je viens tout juste de prendre ma retraite et n’ai d’autres revenus que les maigres pensions mensuelles des gouvernements provincial (RRQ) et fédéral (SV Sécurité de vieillesse). Mais je suis tout-à-fait libre de toutes mes dettes!! Et ça, c’est une richesse en soi. 🙂
    Étant propriétaire d’une maison de 25 ans, mais vivant seule avec un petit salaire, je n’ai donc qu’un seul revenu face aux comptes mensuels, assurances et taxes municipales, scolaires etc. Pourtant, j’ai commencé il y a 13 ans maintenant à budgeter très serré, en mettant un petit montant de côté à chaque semaine pour les ‘urgences et imprévus’. Tout le reste était compté à la cenne près.
    Mon but il y a 13 ans? Réussir à prendre ma retraite sans plus une seule dette ou prêt. J’ai donc dès lors suivi ton plan ‘run those damn numbers’ et j’ai pu ainsi établir le seuil véritable de mes revenus et dépenses et m’y suis tenue tout ce temps. J’en suis venue par moi-même et par obligation, à la méthode du questionnement face à une dépense à faire ou ne pas faire et ceci a largement bonifié la saine gestion de mes finances personnelles, en m’évitant des dépenses inutiles ou non nécessaires qui auraient créé une hémorragie dans mon budget serré. Ce fut salutaire dans mon cas. 🙂
    Résultat après 13 ans : je suis maintenant nouvellement retraitée d’il y a 1 semaine, et le mois dernier, grâce au petit montant hebdomadaire que je mettais de côté et que J’OUBLIAIS que je l’avais, j’ai terminé d’un seul coup de payer la balance de mon prêt hypothécaire (12,000 $) et de mon prêt personnel (7,200 $) . Le sentiment de liberté est indescriptible!! Alors je te remercie de nous donner généreusement des conseils et des techniques simples applicables au quotidien, qui réussissent à ceux et celles qui ont assez de volonté pour les appliquer tout le temps nécessaire à atteindre nos buts.  »Long live Mes Finances Perso! » Di 🙂

    • Allô Diane!

      Oh wow, comme c’est une belle tournure d’événements. Comme on est riche quand on n’a pas de dette! Un autre bel exemple de cela.

      Un très bon début de retraite à toi :).

      Bonne soirée!

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